En Belgique, depuis le 1er septembre 2014, la prévention du burnout est imposée par la loi dans les entreprises.
À la fin de l’atelier, les participants et l’organisation ont une idée claire et concrète de leur situation en termes d’identification du burnout et des mesures qu’ils peuvent/doivent prendre si certains besoins sont déséquilibrés.
L’épuisement professionnel survient parce que les employés s’attendent à ce que certains de leurs besoins soient satisfaits au travail.
Lorsque certains de ces besoins ne sont soudainement pas satisfaits, nous ressentons de la « frustration ».
Si ces frustrations s’accumulent, elles peuvent provoquer une « détresse » considérable.
Si ce processus se poursuit pendant une longue période et que l’employé « ne voit plus de solution viable pour gérer sa détresse », il « tombe malade » ; on parle alors d' »épuisement professionnel ».
– Informations générales sur les mécanismes et les processus qui peuvent conduire à l’épuisement professionnel.
– Vérification de « ce qui est maintenant ».
Mettre le participant en contact avec la manière dont il/elle vit réellement la situation actuelle et découvrir, par le biais d’un exercice interactif, lesquels des 9 besoins sont en équilibre ou en déséquilibre.
– Déterminer comment le participant « veut » la situation.
– Déterminer les mesures à prendre pour y parvenir.
– Passer le test 4DKL : ce test indique dans quelle mesure un participant a tendance à s’épuiser.
Le test consiste en 50 questions à choix, classées selon 4 dimensions : détresse, dépression, anxiété, somatisation.
– L’organisation reçoit un rapport après l’atelier avec des recommandations pour prévenir le burn-out.